22. Freye Uebersetzung einer Stelle aus dem Éloge de M. de la Mettrie Mém. de l'Acad. Roy. des Sciences de Prusse. 1750 p. 5 Pendant la campagne de Fribourg M. de la Mettrie fut attaqué d'une fièvre chaude; une maladie est pour un philosophe une école de physique; il crût s'apercevoir que la faculté de penser n'étoit qu'une suite de l'organisation de la machine - - - Kein Unglück ist, es muß dem Weisen dienen; Den großen Satz: die Menschen sind Maschinen, Fand la Mettrie, mit alle seinem Witze, Doch eher nicht, als in des Fiebers Hitze.